Dans l’épisode de Familles nombreuses, diffusé ce vendredi 28 mars sur TF1, Raoudha Jean-Zephirin s’est confiée sur l’un de ses enfants qui lui a fait une frayeur lorsqu’il était bébé.
Depuis que Raoudha Jean-Zephirin et son mari Stéphane sont dans l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL, ils ont acquis une certaine notoriété sur les réseaux sociaux. Sur Instagram, la maman est désormais suivie par 289 000 personnes. Elle y dévoile son quotidien chargé, les prouesses de ses enfants – ses jumeaux vont participer à une célèbre aventure de TF1 –, mais aussi ses moments plus compliqués. À l’antenne, c’est presque la même chose. Dans l’épisode du docu-réalité diffusé sur la Une ce vendredi 28 mars, la maman de dix enfants (et bientôt 11 ?) a rendez-vous chez une infirmière pour apprendre les gestes de premiers secours. À la tête d’une famille nombreuse, il est essentiel qu’elle sache quoi faire en cas de problème.
Raoudha Jean-Zephirin (Familles nombreuses) impuissante face à son fils qui convulse : “On ne connaissait pas“
Cette formation, Raoudha Jean-Zephirin y tient, même si elle a un coût : “Elle coûte 60 euros“. “Ça fait des années que ça me trotte dans la tête, mais avec une famille nombreuse, les accidents domestiques peuvent arriver vite et plus comme ils sont plus nombreux“, confie-t-elle. Ainsi, la professionnelle lui explique que, en cas de fièvre, il est important de mettre son bébé en body, “même si il tremble” car “jusqu’à cinq ans, ils peuvent convulser“. Un discours qui rappelle des choses à la maman puisqu’elle a été face à cette situation par le passé. “Timéo convulsait quand il était bébé“, confie-t-elle, “On a un peu paniqué avec Stéphane puisqu’on n’avait vu ça, on ne connaissait pas du tout”.
Raoudha Jean-Zephirin revient sur cette expérience “traumatisante” : “C’est très impressionnant”
Raoudha Jean-Zephirin se livre davantage : “J’ai eu cette expérience de la fièvre qui se transforme en convulsion. C’est très impressionnant et forcément on ne savait pas quoi faire et on a appelé les pompiers“. Pour les jeunes parents qu’ils étaient à cette époque, cela a été “un choc” et “un traumatisme”. Depuis, la maman se sent chanceuse de n’avoir eu aucun accident domestique chez elle, mais continue de se former au cas où.