Candidate de la saison 20 de l’Amour est dans le pré sur M6, Isabelle semble regretter son passage dans l’émission. Confrontée à du harcèlement sur les réseaux sociaux, l’ancienne prétendante de Jean-Louis a porté plainte.
Vingt ans après son lancement, L’amour est dans le pré continue de susciter autant d’émotions que de controverses. M6 a d’ailleurs marqué cet anniversaire avec deux soirées spéciales les 8 et 15 décembre 2025 avec d’anciens candidats du programme. Ils sont revenus sur leur parcours. Un moment chargé d’émotion. Mais derrière la célébration, certaines trajectoires restent compliquées, voire douloureuses. Isabelle de la saison 20 en est l’exemple le plus marquant de la dernière saison en date.
ADP : Isabelle “regrette d’avoir participé à l’émission“
Venue chercher l’amour auprès de Jean-Louis, polyculteur du Nord, la quinquagénaire pensait vivre une histoire sincère. Leur relation n’a pourtant pas résisté aux tensions. Après une tentative de rapprochement lors du bilan, la rupture a été inévitable, ce qui n’a pas manqué de surprendre Karine Le Marchand, l’agriculteur. Et depuis la diffusion, Isabelle vit un véritable cauchemar. En effet, elle est la cible d’un harcèlement massif sur les réseaux sociaux. Insultes, accusations, attaques sur son physique : “On me dit que je suis moche, que je suis vieille et aussi que je suis alcoolique.” À ICI Nord, elle s’est confiée sans détour : “Si j’avais su que ça se terminerait comme ça, j’aurais déchiré ma lettre. Je regrette d’avoir participé à l’émission.” Elle a assuré recevoir “plus de 1 000 messages par jour”. “Forcément, ça m’atteint.” Et d’ajouter : “Même si moi, je sais que tout ce que l’on dit sur moi est faux, je ne peux pas m’empêcher de me sentir honteuse et d’avoir peur du regard des gens.”
L’amour est dans le pré : Isabelle n’ose plus sortir de chez elle
Aujourd’hui, l’ancienne prétendante de Jean-Louis s’est résignée à porter plainte face à ce harcèlement. Parce que les choses ne sont pas arrêtées à de simples mots. Sa maison et son véhicule ont récemment été dégradés. Elle a même installé des caméras. Isabelle n’ose même plus sortir de chez elle aujourd’hui. “Je ne sors plus. Soit je fais du drive, soit ce sont mes enfants qui font les courses. Quand je sors, c’est en voiture”, a-t-elle confié à La Voix du Nord. Aujourd’hui, Isabelle tente de se reconstruire. “J’ai pris rendez-vous chez un psychologue fin janvier. Je sens que j’ai besoin d’extérioriser tout ce qui m’arrive.”
