Jean-Louis, doyen de cette 20e saison de L’amour est dans le pré, pensait vivre une aventure tranquille. Mais entre ses deux prétendantes, Sylvie et Isabelle, le la tension monte dès les premiers jours à la ferme.
Dans les derniers épisodes de L’amour est dans le pré, Jean-Louis C, un éleveur de vaches allaitantes de 68 ans, originaire du Nord-Pas-de-Calais, découvre la vie à trois à la ferme avec ses deux prétendantes. Et le séjour commence sur les chapeaux de roue ! Espérant une aventure paisible, le doyen de cette saison 20 constate que l’ambiance est déjà électrique. Si Sylvie s’est présentée très tactile et avec une énergie débordante, elle a vite déchanté à l’arrivée d’Isabelle, la favorite de Jean-Louis. “Quand je les vois discuter ensemble, et comme j’ai un grand ressenti envers lui, ça me fait de la peine. C’est vrai que je me sens un petit peu exclue. Maintenant, je me trompe peut-être, mais j’ai un doute”, a-t-elle avoué lors de l’épisode du 29 septembre.
L’amour est dans le pré : Sylvie tente le tout pour le tout face à Isabelle
Dans l’épisode inédit de l’émission présenté par Karine Le Marchand, disponible en avant-première sur M6+ Max, Sylvie refuse de baisser les bras malgré le sentiment d’être mise de côté. “Me retrouver dans un trio est inconfortable. Mais je ne vais pas me laisser faire, je vais tenter un rapprochement”, confie-t-elle, bien décidée à s’imposer. Avant d’aller plus loin, elle veut toutefois s’assurer des intentions de son hôte. Ce dernier tente de la rassurer en lui faisant comprendre qu’il n’a pas encore de préférence : “J’ai choisi deux personnes et je ne me suis pas trompé. C’est super !” Mais Sylvie insiste, le poussant à prendre position. Pour Jean-Louis, il est encore trop tôt. Profitant d’un moment à deux, Sylvie, à la retraite comme Jean-Louis, contrairement à Isabelle, lui glisse : “La retraite, c’est mieux à deux”.
L’amour est dans le pré : Sylvie se sent mise à l’écart et songe déjà à partir
Le lendemain, Sylvie déborde d’énergie. Et pour cause : Jean-Louis lui a proposé de l’accompagner à la ferme. Mais la joie est de courte durée. Durant le premier petit-déjeuner à trois, elle sent qu’elle est de trop. “Ça ne joue pas en ma faveur”, confie-t-elle, amère. À la ferme, reléguée au rôle d’assistante, elle se met à douter. Submergée par l’émotion, elle craque : “La connexion n’est pas du tout la même entre moi et lui qu’entre Isabelle et Jean-Louis… Je crois que je vais peut-être laisser ma place.”
