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L’amour est dans le pré : la séquence de speed dating de cet agriculteur pourrait bien rentrer dans les annales de l’émission, il en révèle les hilarantes coulisses

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Après de longs mois d’attente, c’est la délivrance pour les fans de L’amour est dans le pré. La saison 20 démarrera ce lundi 25 août et sera diffusée en prime time. Dans les colonnes du Parisien de ce jour, Gilles, l’un des premiers agriculteurs à faire son speed dating, revient sur une séquence appelée à entrer dans les annales et offre de précieux éclaircissements à son sujet…

C’est la tradition, avant même de lancer la nouvelle saison de L’amour est dans le pré. M6 et la production lancent sur les réseaux sociaux des extraits marquants (souvent décalés) de l’émission. Des petites mises en bouche qui ouvrent évidemment l’appétit des fidèles. Entre la diffusion des portraits et le début de la diffusion de l’aventure, plus de 7 mois ont passé. Parmi les séquences déjà dévoilées sur le compte Instagram de l’émission, l’une fait déjà le buzz.

On y découvre Gilles l’agriculteur normand de la saison en plein zouk avec une prétendante lors de leur première rencontre, au speed-dating parisien. Un moment qui n’a pas manqué de faire réagir Karine Le Marchand, l’animatrice de l’émission, à la fois incrédule et hilare face à la séquence. Les internautes ont eux aussi vivement réagi…

L’amour est dans le pré : Gilles entraîné par sa prétendante à un zouk endiablé, il donne de sa personne

Originaire du Pays de Bray, le céréalier de 58 ans, agent de collecte de lait en Normandie et papa de trois filles, a déjà défrayé la chronique lors de son portrait. Ses échanges avec Karine Le Marchand ont en effet marqué les esprits. Ce n’est manifestement pas fini. Avec sa prétendante “moitié ivoirienne, moitié guadeloupéenne”, il donne de sa personne, pas intimidé lorsque celle-ci, sans perdre une seconde, interpelle la production pour obtenir de la musique. Décontenancé mais amusé, Gilles accepte de se lancer de bon cœur dans ce que Karine Le Marchand définira comme une séance de “frotti-frotta”.

Gilles, saisi par la proximité avec sa prétendante, commente en riant : “Ouhla, c’est sensible là.” Et d’ajouter : “Et aussi là quand tu descends… euh… quand tu remontes… euh… on est stimulé.” Karine Le Marchand, qui en a pourtant vu d’autres, se cache le visage. “Mais qu’est-ce qu’il raconte ?!” La séquence se termine lorsque Gilles concède avoir eu “chaud”. “Pour le moment, t’as rien vu encore”, lui lance cette jeune grand-mère qui s’est jetée à son assaut.

L’amour est dans le pré : Gilles, amusé, évoque les coulisses de son zouk pendant le speed-dating

Dans les colonnes du Parisien ce lundi 25 août, Gilles revient sur cette séquence olé olé et avoue hilare : “Et encore les images les plus hard ne passeront pas à la télé”. “C’était chaud. mais je n’ai pas réagi de mon côté, c’est sûrement que ce n’était pas la bonne personne. Et puis elle aussi est partie avec de la buée sur les lunettes.”

Gilles confesse surtout pourquoi la séquence le saisit se tortillant comme un ver. Ce n’est pas que l’homme ne soit pas à l’aise avec son corps… “J’avais une sciatique, et dans ce moment-là je souffre et je danse en même temps. Et j’ai mal aux genoux. Je ne pouvais pas faire certaines positions. Malheureusement, je n’ai plus 20 ans, même si j’ai encore l’esprit d’un gamin de cet âge…”

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