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“Je voulais qu’il soit toujours irréprochable” : Camille Santoro (Familles nombreuses) évoque un regret concernant l’éducation de son fils aîné

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Ce dimanche 8 juin, Camille Santoro s’est livrée en toute franchise sur Instagram. Dans une série de stories, l’ancienne candidate de Familles nombreuses, a évoqué la charge mentale qui pèse sur elle au quotidien.

Camille Santoro sait mieux que personne ce que signifie jongler entre maternité, charge mentale et vie personnelle. Maman de six enfants et entrepreneuse, elle a récemment pris part à une conférence sur le thème de la charge mentale, un sujet qui la touche de près. À cette occasion, l’ancienne participante de Familles nombreuses, qui a dernièrement eu un petit souci de santé, a partagé son expérience aux côtés d’autres parents. Pour prolonger cette discussion, elle a décidé de revenir sur certains points marquants via plusieurs stories publiées sur son compte Instagram. Elle y aborde non seulement le poids des responsabilités du quotidien, mais aussi l’impact du jugement extérieur. La mère de famille raconte comment elle a fini par comprendre qu’elle avait le droit de relâcher la pression. Ce déclic, elle le décrit comme un tournant : apprendre à déléguer, à accepter l’imperfection, et surtout, à s’accorder du répit sans culpabiliser. Un témoignage qui résonne avec celui de nombreuses femmes.

“Je me suis auto-mise la pression “ : Camille Santoro (Familles nombreuses) raconte ce jour où elle a enfin arrêté de se soucier du regard des autres

Sur son compte Instagram, Camille Santoro, découverte dans le programme phare de TF1 Familles nombreuses, a pris la parole pour se confier sur sa charge mentale en tant que maman. “Je suis maman depuis quasiment la moitié de ma vie et aujourd’hui, je pense savoir exactement ce que je veux et ce que je ne veux plus dans ma vie”, commence-t-elle par affirmer. “Quand je me demande ce que ça représente pour moi la charge mentale, à mon sens ça représente la pression du quotidien. En fait, le trop de tout. De la profession, des enfants, de la vie de couple et de tout ce qu’il y a à gérer dans le quotidien”, explique la mère de famille. Elle s’est alors interrogée sur l’origine de cette éprouvante pression qui ne la lâchait pas et puis elle est revenue sur un évènement qui lui a servi de déclic. “J’ai fait un peu le bilan et je me suis rendue compte d’une chose qui m’a extrêmement touchée il y a quelques années”, se souvient-elle.

Ce déclic concerne son premier fils Alessio qu’elle a eu très jeune. “C’était un choix et je n’ai absolument aucun regret sur la situation, néanmoins, je me suis auto-mise la pression parce que je voulais qu’Alessio soit toujours irréprochable”, confie-t-elle avec gravité. “Jusqu’au jour où, en 2e section de maternelle, la maîtresse est venue me voir pour me dire qu’Alessio ne voulait pas faire le cadeau pour la fête des Mères parce qu’il avait peur de se salir. À ce moment-là, je me suis dit ‘Camille, tu es complètement folle, tu es en train de faire vivre à ton enfant tes propres peurs’, raconte-t-elle avec émotion. C’est à ce moment précis, qu’elle a compris qu’il fallait se détacher du regard des autres. “C’est ce que je dis tout le temps à mes enfants tous les jours ‘Je ne vous demande pas d’être les meilleurs, mais je vous demande de faire de votre mieux’. C’est quelque chose que j’essaye de m’appliquer. Quand tu vis pour le regard des autres, tu ne vis pas pour toi”, résume-t-elle à sa communauté.

“Il faut enchaîner les devoirs, le ménage, le repas, les activités” : Camille Santoro (Familles nombreuses) révèle avoir parfois besoin de soutien

Dans les stories suivantes, Camille Santoro se montre transparente avec sa communauté : elle aussi, parfois, se sent dépassée. “Pour moi, le moment le plus difficile de la journée, comme pour beaucoup je pense, c’est le tunnel du soir. Tu quittes le travail avec ses soucis, tu récupères les enfants et leurs problèmes à l’école. Ensuite, il faut enchaîner : les devoirs, le ménage, le repas, les activités…”, confie-t-elle sans filtre. Dans ces instants de surcharge, elle encourage ses abonnés à ne pas rester seuls. “J’ai appris à prendre du recul, à relativiser. Il faut arrêter de culpabiliser et oser demander de l’aide quand on n’en peut plus, quand on sent qu’on est à deux doigts d’exploser”, ajoute-t-elle. Ce témoignage sincère fera sans doute beaucoup réagir sa communauté !

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