Papa comblé mais protecteur, Mathieu Ceschin partage quotidiennement son aventure de parent célibataire avec sa communauté. Ce mardi 23 décembre 2025, l’ancien candidat de L’amour est dans le pré a pris la parole sur Instagram pour aborder un sujet qui suscite de nombreuses réactions : le fait que son fils, Ezio, ne parle pas encore.
Le parcours de Mathieu pour devenir père par GPA n’a pas été de tout repos, et l’exposition de son fils sur les réseaux sociaux lui vaut régulièrement des remarques non sollicitées. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’il doit défendre le rythme de développement d’Ezio. En août dernier, il avait déjà dû recadrer les internautes qui s’inquiétaient de voir que le petit garçon, alors âgé de 14 mois, ne marchait toujours pas. Fidèle à sa philosophie, il avait simplement répondu qu’il le ferait “quand il sera prêt”.
Mathieu Ceschin se confie sur le phénomène des “late talkers”
Ce mardi 23 décembre, c’est sur le terrain du langage que Mathieu a souhaité sensibiliser ses abonnés. À travers une publication pédagogique intitulée “Pourquoi Ezio ne parle toujours pas…”, il met en lumière le concept des “late talkers” (les parleurs tardifs). Il explique que certains enfants, particulièrement dans les environnements bilingues, privilégient l’observation et la compréhension émotionnelle avant de se lancer à l’oral. “Ils ne suivent pas le calendrier classique. Ils communiquent par les gestes, le regard et les émotions, puis un jour, les mots sortent d’un coup, parfois même par phrases entières”, détaille-t-il.
Mathieu Ceschin n’a aucune inquiétude pour son fils
Pour Mathieu Ceschin, il n’y a aucune place pour l’inquiétude. Il affirme qu’Ezio appartient à cette catégorie d’enfants qui emmagasinent tout avant de s’exprimer avec assurance. Dans la vidéo accompagnant son post, il précise en voix off que ces enfants commencent généralement à parler entre deux et trois ans. Son message se veut rassurant pour tous les parents qui subissent la pression de la comparaison : le langage n’est pas une compétition, et l’essentiel réside dans la sécurité affective. Mathieu en est convaincu : d’ici quelques mois, son fils le surprendra en formulant directement des phrases complètes.