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“Elle aurait dû être de mon côté, pas me trahir” : Mélanie Gonzalez (Familles nombreuses) révèle avoir coupé les ponts avec sa famille Player Video

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Maman de neuf enfants, Mélanie Gonzalez attache une très grande importance à la famille. C’est bien pour ça qu’elle s’est dévoilé dans Familles nombreuses : la vie en XXL. Toutefois, elle déclare ce mercredi 3 décembre ne plus parler à ses proches.

C’est au début de la troisième saison, diffusée en février 2021 que Mélanie Gonzalez et son mari Franck ont débarqué dans Familles nombreuses : la vie en XXL. Très appréciés par les téléspectateurs, ils sont toujours au casting du docu-réalité. Les aficionados du programme ont récemment pu suivre sa fausse couche, mais aussi sa grossesse qui lui a permis de devenir la maman d’un neuvième enfant, une petite fille qui se prénomme Calypso. Toutefois, en raison de la Star Academy, la diffusion des nouveaux numéros est interrompue. Pour autant, Mélanie Gonzalez continue d’être très active sur les réseaux sociaux.

Sur Instagram ce mercredi 3 décembre, elle a répondu à des interrogations de sa communauté. Souvent questionnée sur sa relation avec ses parents, étant donné qu’elle n’en parle jamais, elle a brisé le silence et a fait de tristes révélations. “C’est compliqué, mais je dois avancer comme cela“, a-t-elle déclaré au début avant de s’expliquer davantage sur la situation délicate. Elle demande à ses abonnés “d’arrêter de dire qu’il faut pardonner ‘parce que c’est la famille'” : “Ce conseil, bien qu’animé de bonnes intentions, est souvent nocif.” Ainsi, elle “remet en question” ce conseil “parce qu’au fond, la famille aurait dû mieux faire“.

Mélanie Gonzalez (Familles nombreuses) n’est pas prête à pardonner à ses parents : “Ce n’est pas quelque chose que l’on peut forcer”

Mélanie Gonzalez ne dévoile pas les raisons qui l’ont poussée à couper les ponts avec ses parents, mais exprime sa déception. “La famille aurait dû me protéger, pas me blesser. Elle aurait dû être de mon côté, pas me trahir. Elle aurait dû être mon refuge, pas la source de mon traumatisme le plus profond. Et le fait de partager le même sang ne signifie pas que je leur dois l’accès à ma paix, à mes enfants, ou à la vie que j’ai reconstruite avec tant d’efforts“, confie-t-elle. Pour le moment, Mélanie Gonzalez n’est pas prête à pardonner : “Ce n’est pas quelque chose que l’on peut forcer, surtout quand les excuses nécessaires ne sont jamais arrivées, surtout quand les comportements blessants n’ont pas changé, surtout quand la douleur est toujours là, comme une plaie ouverte dans l’âme.”

Encore blessée, la maman qui a acheté une nouvelle maison déclare que ses enfants n’ont, eux aussi, pas de contact avec cette partie de la famille : “J’ai pleinement le droit de protéger ma paix, même si cela signifie la protéger de ceux qui portent mon nom de famille“. “Parce que la famille, ce n’est pas seulement ceux qui portent le même nom, c’est aussi ceux qui sont vraiment présents, ceux qui te respectent sincèrement“, a-t-elle conclu.

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