L’amour est dans le pré : “Ça m’a fait peur”, ce geste de Françoise pas vu à la télé qui a alerté Laurent

L’amour est dans le pré 2025 a été une expérience incroyable pour Laurent. L’Ardéchois de 58 ans a eu le bonheur de recevoir plusieurs courriers à la suite de la diffusion de son portrait. Et ce sont Laurence et Françoise qui ont retenu son attention à l’issue du speed-dating. Mais très vite, il s’est rendu compte que Françoise n’était pas faite pour lui. Interrogé par TV Actu, il est revenu sur sa déception.

TV Actu : Comment avez-vous vécu cette aventure ?

Laurent : L’aventure est magnifique. Il a fallu beaucoup de courage. La diffusion de mon portrait m’a renforcé dans mes choix, à partir de ce moment-là, je suis parti sur une positive attitude. L’amour est dans le pré, c’est vraiment une année exceptionnelle qu’on vit une fois dans sa vie.

Quel bilan tirez-vous de votre participation à l’émission ?

Au début, quand j’en parlais avec mes enfants ou autour de moi, je disais : ‘Peut-être je n’ai pas choisi la bonne formule, mais on en parlera après.’ Et aujourd’hui, je n’ai aucun regret. Je l’ai fait très sérieusement, je savais pourquoi je l’avais fait. Et le bilan est absolument merveilleux !

Qu’est-ce qui a été le plus difficile pour vous ?

Ça a été le moment avec les deux prétendantes à la ferme. Ce moment-là est très particulier. Il y a deux femmes chez toi, et il faut jouer l’équilibre entre les deux et faire attention à ne pas passer à côté de quelque chose, de ne pas se tromper.

À la suite du speed-dating, vous avez notamment fait venir Françoise chez vous, un coup de coeur. Mais lors de son arrivée à la ferme, c’est la déception. Qu’est-ce qui vous a déplu ?

Je n’ai pas la relecture de la Françoise qui m’a fait une très belle lettre et de la Françoise que j’ai rencontrée à Paris. Lors de son arrivée à la ferme, je sentais qu’elle était là, prête à lâcher prise. C’était presque la colonie de vacances, mais sans trop se projeter sur l’avenir. En plus dans mon portrait, j’avais parlé de la cuisine à quatre mains, de l’envie de partager. Et j’ai très vite senti qu’elle était mal à l’aise. Son comportement aussi. La voir se resservir du vin chez moi lorsqu’on revient de la bergerie avec Laurence, j’ai trouvé ça très vulgaire.

Si lors du speed-dating, elle vous avait parlé de son malaise en cuisine, cela aurait-il changé la donne ?

Je lui avais posé la question justement au-speed dating. J’ai regardé mes prises de notes il n’y a pas longtemps, et il y avait des questions sur la cuisine. Au montage ça n’apparaît pas, mais – c’était incohérent – elle m’a dit qu’elle pouvait faire, mais qu’il lui manquait les bases. C’est l’inverse normalement. Après, on le voit à la diffusion, elle dit qu’elle ne savait pas où était la cuisine. Donc quand j’entends ça, ça me fait peur. Lors du repas qu’on a eu ensemble, avant que j’annonce mon choix, on a parlé pendant trois heures et quand on va au fond des choses, notamment sur des questions de cuisine, je vois bien qu’il y beaucoup de lacunes. Je n’avais pas prévu de lui annoncer à ce moment-là, c’est elle qui m’y amène. On n’était même pas au dessert. Mais bon, ça s’est passé comme ça, ça s’est passé comme ça.

Avez-vous eu une discussion avec elle hors caméras après votre première déception ?

Je crois qu’à un moment, je lui ai dit de faire attention à son vocabulaire, mais c’est passé à la télévision. Et quand on revient de la bergerie, elle donne 3 minutes à Laurence pour aller se doucher. Ma cuisine, elle me dit que ça manquait de logique. Tu es arrivé le matin et tu critiques déjà. Commence à comprendre comment je fonctionne avant de critiquer. Tu es dans la découverte de la maison de quelqu’un, ne commence à vouloir tout révolutionner.

Pensez-vous que cela est dû à un excès de confiance ?

C’est possible, j’y ai pensé. Il y a quelque chose qui m’a fait peur déjà au speed-dating. On est sortis pour faire des photos pour les réseaux sociaux et elle m’a pris la main. Alors oui, je t’invite à la ferme, mais on n’en est pas là. Ça m’a fait un peu peur. Il y avait une sur-confiance, elle ne tenait pas compte de Laurence.

Finalement, vous lui annoncez au restaurant que ce n’est pas elle que vous avez choisie. Comprenez-vous sa réaction ?

J’ai quand même mis beaucoup de formes. Je ne voulais pas aller à la dispute. Mais sa réaction est normale. Elle était très confiante et là, elle comprend que ça s’arrête. Donc c’est violent pour elle aussi et je l’entends.

Avez-vous eu des contacts depuis ?

Pas du tout. Je n’avais pas pris son numéro de téléphone, ce qui fait que je n’ai pas entretenu le contact. Et je ne l’aurais pas fait. Parfois on en parle avec les gens de la saison, il ne faut pas faire ça. C’est c’est entretenir le feu.